D'un souffle familier,
Je me retire,
Accablé de désir,
Dominé par le couteau
Que j'ai pu voir venir,
Que j'ai pu sentir déchirer mes artères,
Que j'ai pu voir, mes entrailles exposé par terre!
Ah! mais quel malheur,
Celui de devoir vivre sans eaux dans les veines,
Celui de vivre avec la peine,
De savoir que son cœur a été volé,
Par une femme qui pas une fois n'y a pensée!
Ainsi par un simple souffle,
De sa bouche qui jamais ne s'ouvre,
Pour moi, raison pour lequel je souffre,
Et dans l'anonymat je m'engouffre
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